À la sortie de No Man’s Sky, on s’est beaucoup moqué de la génération procédurale foireuse du jeu, donnant naissance à de véritables abominations. Un blog spécialisé dans les modèles 3D, a publié un long article (en anglais) sur No Man’s Sky, analysant la façon dont sont générés les animaux. Si le sujet vous intéresse, on vous en conseille la lecture. L’article est divisé en trois parties : géométrie, textures, animations.
On y apprend que les fameuses créatures présentées dans les trailers, dont les joueurs ont tant regretté l’absence, existent bel et bien dans le jeu final. Le fameux diplodocus, par exemple, peut réellement apparaître. Le problème, c’est que face à une variété de possibilités aussi énorme, le moteur du jeu ne choisit que très rarement la combinaison lui donnant vie. L’auteur de l’article explique que Hello Games aurait très bien pu faire apparaître des monstres incroyables s’ils le souhaitaient.
Serait-ce donc un choix de game design ?
