Cevat Yerli, le CEO fou de Crytek, a annoncé qu’une fois leurs contrats en court terminés, ils ne feront plus que des jeux free to play. Leurs futurs titres seront néanmoins des jeux « de qualité console » avec des budgets de 10 à 30M de dollars. Grâce à ce nouveau business model, on peut espérer que Cevat cesse enfin de nous traiter de pirates.

Le premier titre F2P de Crytek se nomme Warface et il est déjà lancé en Russie. En parallèle, une bêta tourne également en Chine. Là où ça devient intéressant, c’est que les deux versions diffèrent, tout comme leur business model : en Russie, le gameplay est plus difficile et plus hardcore. Par exemple, les armes ont plus de recul et le HUD n’est pas encombré d’un tas d’informations. De plus, les achats ne permettent pas d’obtenir un avantage sur les autres joueurs.

Tandis qu’en Chine, les consommateurs estiment qu’il est normal d’obtenir du meilleur matériel lorsqu’ils sortent leurs porte monnaie. Warface y est donc un stupide pay to win…

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