Je me souviens encore du premier type que j’ai tué avec mon grand-père… il s’appelait Werther ; j’avais quatre ans. Je n’oublierai jamais cette sensation tellement douce et crémeuse, un vrai régal. Je me sentais quelqu’un d’exceptionnel… Et maintenant, c’est moi le grand-père ! Et que pourrais-je donner de meilleur à mon petit-fils qu’un Werther ou un Boris à tuer ? Car il est lui aussi quelqu’un d’exceptionnel.

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