Singularity est finalement sorti vendredi (sans aucun marketing de la part d’Activision) en Europe, et le consensus est qu’il s’agit certes d’un plagiat complet de Bioshock et Timeshift, mais que ça n’est pas désagréable à jouer pour autant. Enfin… si vous pouvez oublier les gros défauts techniques du jeu.

Car malgré son année de retard, Singularity est sorti sur PC avec un gros problème de chargement de textures, ce qui rend le jeu particulièrement hideux. C’est apparemment relativement courant avec l’Unreal Engine 3, mais poussé ici à l’extrême.

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Images comparatives via Voodoo Extreme

Internet, comme d’habitude, a déjà trouvé le solution, mais ça demande de bidouiller des fichiers avec un éditeur hexadécimal, comme quand on crackait des shareware au XXe siècle. Pour la solution, c’est donc par là. Il n’est pas impossible qu’un patche arrive un jour pour corriger tout ça, mais vu le manque de soutien d’Activision sur le jeu, on ne parierait pas non plus là-dessus.

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