Owen O’Brien explique à Gamasutra que Mirror’s Edge n’est pas un FPS mais un FPA, avec un A pour Action : vous débutez le jeu sans arme, et si vous en récupérez une vous ne la garderez pas longtemps. En effet, la petite danseuse de tectonique que vous incarnez passe son temps à courir et ne peut guère se déplacer avec une arme en main.

Owen insiste : dans Mirror’s Edge tout est question de liberté. Le gameplay est basé sur l’idée de free-running, il n’y a aucun HUD pour vous guider et même l’histoire traite de liberté. Tout comme dans Firefly et Serenity, dont les développeurs se sont inspirés, les gens vivent dans une jolie petite ville bien confortable où tout le monde est fliqué, mais heureux. Malgré ça, certaines personnes refusent de sacrifier leurs libertés individuelles et décident de vivre en marge (« on the edge », d’où le titre) de la société.

« L’une des questions essentielles que vous pose le jeu est : à quel point pourriez-vous sacrifier votre liberté en échange d’une vie confortable ? Le jeu montre aussi qu’on ne peut pas forcer les gens à vivre selon les règles de notre société, même si notre société est meilleure… » – Owen O’Brien de DICE

L’interview de Gamasutra fait cinq pages, ce n’est pas une mauvaise lecture.

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