Dave Matthews, chief artist sur F.E.A.R. 2: Project Origin, explique à CVG que les deux add-ons de F.E.A.R. (et leurs portages consoles) ont probablement fait plus de mal que de bien à la série.

Etonnant, d’autant qu’Extraction Point, le premier des deux add-ons, était officiellement développé conjointement avec Monolith et est sensiblement meilleur que le jeu d’origine. Perseus Mandate n’était en revanche pas indispensable.

Monolith semble également prendre très au sérieux le scénario de série B qui tient lui d’histoire à F.E.A.R. :

TimeGate a fait avancer l’histoire dans une direction différente de ce que nous avions en tête. Pour nous, Extraction Point et Perseus Mandate sont un univers parallèle, qui n’a pas d’impact sur l’histoire que nous essayons de raconter. F.E.A.R. parlait d’Alma, F.E.A.R. 2 parle d’Alma, et nous voulions continuer à raconter l’histoire comme prévu dès le départ.

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