En FPS ukrainien, pour l’instant, on connaissait surtout un certain S.T.A.L.K.E.R.: Shadow of Chernobyl. Ca tombe bien, les développeurs de chez 4A Games ont pour la plupart participé au développement fleuve du FPS de GSC Gameworld. Et chez 4A Games, leur jeu, c’est Metro 2033: The Last Refuge, un FPS tiré d’un roman du cru.

Les développeurs nous ont présenté leur jeu ce matin, et le moins qu’on puisse dire c’est que la parenté avec S.T.A.L.K.E.R. se fait bien voir : le moteur, les décors, les personnages, la palette graphique, tout rappelle l’Arlésienne ukrainienne. Enfin, Metro 2033 a tout de même quelques atouts de son côté.

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[–SUITE–]Même le concept de Metro 2033 n’est pas si éloigné du jeu de GSC, même si 4A Games est plus modeste : Metro 2033 vous propose un jeu non linéaire dans lequel on choisit ses missions en fonction des stations du métro moscovite. Une station, une mission. Elles devraient être assez différentes, certaines étant du FPS classique en extérieur, d’autres plus proches d’un Serious Sam dans une cave. La raison pour tout ça ? Les quelques hères ayant survécu à une guerre nucléaire se terrent dans les méandres du métro de Moscou. A la surface, des monstres. Plein.

Graphiquement, le jeu est plutôt mignon, comme on pouvait s’y attendre avec des graphistes ayant bossé sur S.T.A.L.K.E.R. Surtout, pour un jeu dont le développement a officiellement débuté en février, c’est plutôt impressionnant. A part ça, on nous promet plein de trucs qui n’étaient pas montrés : une super IA, des pouvoirs psi qui déchirent sa mère, du body-awareness et des anomalies (tiens tiens, comme dans S.T.A.L.K.E.R.).

Pour l’instant, le jeu a pour lui une jolie réalisation et quelques bonnes idées, comme un HUD totalement invisible. Ca sort fin 2008 (au mieux, rappelez-vous Stalker) sur PC et éventuellement PlayStation 3.

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