Il y a quelques jours, Libération publiait un article expliquant comment les émissions de Game One, la chaine cablée dédiée aux jeux vidéo, étaient en partie liées aux contrats publicitaires passés avec les éditeurs :

Mercredi 27 février, dernier direct de Marc Lacombe, alias «Marcus», sur la chaîne thématique Game One. Il teste, avec l’aide des téléspectateurs, le jeu Metal Gear Solid 2. A cinq minutes de la fin, il s’arrête de jouer et commence à évoquer son départ de la chaîne : «Aujourd’hui, si je ne veux pas perdre votre confiance, il faut que je parte. Parce que, si je reste, je serai amené à vous mentir à un moment ou à un autre. Et ça, je n’en ai pas envie.» Comme lui, plusieurs membres de l’équipe éditoriale ont décidé de quitter Game One. Une hémorragie due aux récents changements d’orientation de la chaîne et à certaines pratiques que les journalistes ne peuvent assumer.

L’article prend une tournure comique et dramatique quand il explique qu’au CSA, on tombe des nues :

«Cette pratique paraît totalement illégale, explique Anne Bouquin, en charge des chaînes câblées. L’indépendance éditoriale est une obligation et une règle absolue, et plus encore pour les émissions qui présentent des produits.»

Et dire que chez NoFrag, nous ne demandons que ca : toucher des commissions quitte à devoir dire du bien de LithTech.

Note : il parait qu’hier Game Zone, une émission diffusée quotidiennement sur Game One, aurait parlé de NoFrag pendant quelques minutes. Une âme charitable acceptera-t-elle de faire un résumé de tout le mal qu’ils ont pu dire sur nous?

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